Loïc Tanzi, journaliste de L’Équipe, a jeté un pavé dans la mare en qualifiant la présence de Geronimo Rulli parmi les cinq nommés pour le trophée de meilleur gardien de Ligue 1 de « totalement injustifiée ». Selon lui, le portier argentin de l’OM « n’a rien à faire dans cette liste », pointant du doigt des « erreurs coûteuses » lors de matchs clés. « Il y a eu des rencontres où il a fait perdre des points à son équipe, comme contre Lens ou Monaco. Comment récompenser ça ? », interroge-t-il, en référence à des performances jugées inconsistantes malgré ses 31 matches joués.
Pourtant, Rulli figure bien parmi les finalistes aux côtés de Donnarumma (PSG), Chevalier (Lille), Perri (OL) et Petrovic (Strasbourg). Une sélection validée par les votes des joueurs et entraîneurs, comme le rappelle Giovanni Castaldi : « Les théories du complot n’ont pas lieu d’être. Ce sont les acteurs du terrain qui décident ».
Si Rulli cristallise les tensions, d’autres omissions font grincer des dents. Adrien Rabiot (OM) et Corentin Tolisso (OL), pourtant cadres de leurs équipes, ne figurent pas parmi les nommés dans leurs catégories respectives. En revanche, Mason Greenwood (OM), souvent critiqué pour son manque de régularité, ne suscite paradoxalement aucune controverse, confirmant que « les votes reflètent parfois des réalités insoupçonnées », glisse un proche de l’UNFP.
Du côté marseillais, la colère est palpable. « Rulli a sauvé l’OM à plusieurs reprises cette saison, comme à Lyon ou face au PSG. Les chiffres parlent d’eux-mêmes », défend un membre du staff.
Entre subjectivité et performance, les Trophées UNFP restent un miroir trouble du football français. Et si la vraie victoire, pour Rulli, était déjà d’avoir suscité autant de passions ?
Toujours est-il que pour Jeunesfooteux, la présence de Géronimo Rulli parmi les nommés au titre de meilleur gardien de Ligue 1, ne souffre d'aucune contestation.
Pourtant, Rulli figure bien parmi les finalistes aux côtés de Donnarumma (PSG), Chevalier (Lille), Perri (OL) et Petrovic (Strasbourg). Une sélection validée par les votes des joueurs et entraîneurs, comme le rappelle Giovanni Castaldi : « Les théories du complot n’ont pas lieu d’être. Ce sont les acteurs du terrain qui décident ».
Si Rulli cristallise les tensions, d’autres omissions font grincer des dents. Adrien Rabiot (OM) et Corentin Tolisso (OL), pourtant cadres de leurs équipes, ne figurent pas parmi les nommés dans leurs catégories respectives. En revanche, Mason Greenwood (OM), souvent critiqué pour son manque de régularité, ne suscite paradoxalement aucune controverse, confirmant que « les votes reflètent parfois des réalités insoupçonnées », glisse un proche de l’UNFP.
Du côté marseillais, la colère est palpable. « Rulli a sauvé l’OM à plusieurs reprises cette saison, comme à Lyon ou face au PSG. Les chiffres parlent d’eux-mêmes », défend un membre du staff.
Entre subjectivité et performance, les Trophées UNFP restent un miroir trouble du football français. Et si la vraie victoire, pour Rulli, était déjà d’avoir suscité autant de passions ?
Toujours est-il que pour Jeunesfooteux, la présence de Géronimo Rulli parmi les nommés au titre de meilleur gardien de Ligue 1, ne souffre d'aucune contestation.